A la faveur d’une rencontre avec la presse tenue ce 04 septembre 2024 à Lomé, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) a fait le point de sa première participation aux travaux du Cadre Permanent de Concertation (CPC). La toute première réunion au lendemain du double scrutin du 29 avril dernier. Occasion pour la députée Brigitte kafui Adjamagbo-Johnson et sa famille politique d’expliquer à l’opinion leur choix d’intégrer le Cadre.
Au rang des 23 entités présentes sur les 26 initialement invitées, la délégation a, à l’entame de la première réunion de la deuxième session du CPC du mardi 03 septembre, suggéré la modification de l’ordre du jour en y ajoutant des points non inscrits. Saisissant ainsi l’opportunité qu’offre le cadre, la Dynamique a mis sur la table de discussion les questions liées à la situation des ‘prisonniers politiques’, au sort des exilés, aux problèmes sociaux des togolais et surtout à la nécessité de réformer le CPC « en vue d’en faire un cadre équitable de discussion et de prise de décision ».
Concernant les raisons qui milité à la participation de la Dynamique aux travaux du CPC, le désormais vice-président du Cadre, Pascal Adokou a tenu à situer l’opinion publique. « Nous avons décidé d’intégrer les travaux du CPC pour mettre à l’épreuve le pouvoir en place qui clamer à tout vent qu’il est ouvert aux discussions avec tous les acteurs politiques quel que soit leur bord », a-t-il laissé entendre. Avant de promettre d’user de son poste de vice-président pour introduire à l’agenda des prochaines rencontres des points qui concernent la DMP et l’amélioration des conditions de vie des citoyens.