Dans le cadre des prochaines consultations électorales pour le compte des législatives et régionales, plusieurs listes de candidatures ont été rejetées à la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) au motif que les numéros de cartes d’électeur de certains candidats ne sont pas reconnus par le système d’enregistrement électronique. Les techniciens expliquent clairement que « ces numéros sont introuvables dans la base de données du registre national des électeurs »
L’ANC (Alliance Nationale pour le Changement), le parti de l’ex chef de file de l’opposition togolaise en a été victime dans plusieurs circonscriptions électorales. Notamment à Agoè-Nyévé, Amou, Kéran, Oti, Binah et Dankpen.
Dans un communiqué rendu public le 12 mars 2024, le président du parti orange, Jean Pierre Fabre a exprimé sa frustration et son indignation face à ce qu’il qualifie de « violations ‘répétées de la Constitution et du Code électoral commises par la CENI avec la complicité du Gouvernement ». Pour le fils de Kodjoviakopé, cette situation est la preuve tangible de la volonté du parti au pouvoir d’empêcher certains togolaise en l’occurrence ceux de l’opposition, d’exercer leurs droits politiques.
En effet, le parti lance un appel solennel à l’Exécutif et à l’organe organisateur du scrutin « pour qu’ils se ressaisissent et ouvrent une concertation avec les parties prenantes aux prochains scrutins, en vue de trouver des solutions idoines aux difficultés qui entravent le bon déroulement du processus en cours »
🔴 Nous avons beaucoup de problèmes. Au lieu de nous focaliser sur nous-mêmes, nous préférons nous intéresser aux discours populistes des dirigeants des pays du Sahel.☹️
Bonsoir,
Et si l’Exécutif n’entendait pas l’appel lancé par JPF pour<> qu’est-ce qui se passerait, svp? / Fred de GLUDJI (un des deux millions environ des Togolais de l’étranger qui n’ont pas le droit de voter).